Premiere séssion d'entrainement de la CGC

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Le nouvel officier s'avançait sur le térrain d'entrainement pour accueillir le Corp de Gardes de Cognac dont il faisait, il y a peu, parti en tant que simple soldat. En allant réucupérer ses affaires, il n'avait pas dit à ses compagnons pourquoi il le faisait, leur laissant crioire qu'il était exclu de la CGC.

C'est alors qu'il était aller s'installer dans ses nouveaux quartiers avec les officiers et récupérer son nouvel uniforme ainsi que sa nouvelle arme, une rapiere à la fine lame légerement usagé, il décida de l'amener au forgeron du coin pour améliorer cela, ainsi qu'une garde en fer recuvert de cuir simple. Son nouveau bouclier lui était fait de fer, et non en bois dur comme ceux des gardes qu'il dirigeait.

Ses anciens compagnons du corp des gardes se dirigeaient vers le térrain, tous souriant à la vue d'un nouveau sergent, cela dit, lorsque qu'ils s'apperçurent que Varlax en était le nouveau promu au poste, leur surprise fût plus grande.

Les voyant mettre le désordre dans les rangs, il décida d'y remédier, il savait tres bien qu'à compter de ce jour, il allat devoir se faire respecter et surtout détester.

Garde à vous !

Le rang se forma presque desuite, ce temps de trop ne lui plaisait pas, ils n'étaient pas assez obéissants selon lui, il fallait remédier à cela. Il se mit à rugir comme le lyon de leur banniere.

Comme vous aviez pu le consater je suis votre nouveau Sergent Varlax, pour ceux qui ne me connaissent pas encore. Bienvenu à vous dans le Corp de Garde de Cognac ! Oubliez les petits plaisir passés à rigoler en plein milieu d'un entrainement, dés aujourd'hui il va devenir sévere !
Sachez que je déteste les rigolos, et le premier qui vient pleurnicher en me disant que j'ai la grosse tête il est de corvée !
Le Corp de Garde de Cognac n'est certe pas le Corp d'Elite, mais on ne vous à pas demander votre avis et c'est à nous de prouver que nous sommes meilleur qu'eux pour défendre le Comte et son Domaine ! Aujourd'hui les choses vont changés, est ce bien compris ?!!

OUI SERGENT !!

Bien, des questions ?

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Sa lance à la main, habiller tels d'un bon soldat, Marcus était au garde à vous. IL était mouche, il ne parlais pas, comme tout les autres.

Bien, des question ?

Marcus et ses compagnons, disent en cœur.

Non, mon Sergent !

Marcus voulais dire, Oui, mais il se devait irréprochable, et ensuite, ils disaient tous enssemble.

Vive le Corps des Gardes de Cognac !

Marcus et les autres suivirent le Sergent, paré à l'entrainement.

Longeant le grand canal à son extrême nord, assez loin du parc du château se trouvait un camps d'entraînement militaire que le Comte de Cognac avait fais bâtir peu de temps après la guerre avec Malfosse et ceci afin de protéger ses terres d'éventuels envahisseurs assoiffés de sang. Le terrain était assez plat avec un chemin de ronde immense afin de faire courir les chevaux, des fossés remplis d'eaux nauséabondes, un parcours du combattant, des tas de ronces à certains endroits, des mannequins branlant tenant des armes de toute sorte et qu'il fallait éviter afin de ne point se faire embrocher, le tout entouré de haies si haute qu'on ne pouvait voir au delà...

Le Comte avait fais construire dans un arbre assez haut une sorte de cabane où il aimait à venir observer l'entraînement de ses soldats sans que ceux-ci puissent le voir, enfin le pensait-il. Car voilà peu de jours il avait reçu une longue vue qui lui permettait de voir au loin toute chose en mouvement. Posté dans sa cabane, avec deux serviteurs chargés de pâtisseries et de vins, il se mit à regarder le terrain, ne se rendant pas compte que son instrument reflétant le soleil, brillait telle une loupe ...

Invité

Le Sergent était satisfait de ses troupes, pour la premiere fois depuis ses débuts à la garde de Cognac l'émotion lui montait au nez, pas celle de peur, de crainte qu'il avait eu en sentant les échecs lui pesaient, mais celle de la patrie envers le corp d'arme lui réchauffait le coeur.

Il était tant de les tester.

Comme je vous l'ai dit, je reprend tout ! Et nous allons revoir les bases, aujourd'hui je vais vous tester ! ... Votre premiere leçon est l'obéissance ! Là où je vous direz d'aller vous irez, là où vos officiers vous diront d'aller vous irez, là où le Corp des Gardes sera, vous serez ! Vous allez apprendre à lui faire confiance car, avec lui, vous apprendrez à VOUS connaitre. ... Allez déposer vos lances en bordure du térrain.

Varlax les observa s'éloigner, certain avec réticence, vers un endroit prévu où étaient posées les armes. Ils se demandaient surement, tous, pourquoi ils n'allaient pas s'entrainer avec celles-ci. Certains revenaient se positionner tel des molassons et se plaçaient maladroitement dans les rangs.

GARDE A VOUS !

Bien que tout le monde éxécuta l'ordre, ce n'était pas encore ça, il en reprit quelques uns, surtout ses anciens compagnons, en les bousculant légerement, cela dit, il en remarqua un seul qui était irréprochable, bien que ne le connaissant pas, il se promit de lui parler à la fin de l'entrainement.

L'obéissance doit tout d'abord passer par votre présence ! Si il y a un probleme quelque part dans le domaine du comte, vous devez y être aussi vite que vos trippes vous le perméttront ! Est ce bien compris !?

Oui Sergent !!!

Bien ... vous avez droit à quinze tours de piste dans ce cas ! Et ce n'est pas la peine d'enlever vos armures bande de limaces ! C'est pas dénudé que vous arriverez sur les lieux d'un probleme !

Non mon Sergent !

Allez-y !

Tous s'éxécutèrent, cet éxercice était bon pour déceler leurs capacité physiques mais aussi mentales, le térrain étant assez grand, la plusparts étaient épuisés une fois les huit tours franchis. Pour montrer l'éxemple, le Sergent courait avec eux avec un visage ne montrant aucun signe d'épuisement, ce qu'il cachait bien évidement.

Une fois ce nombre de tour passait, quelques gardes semblait être assez costaud pour supporter le poid de leurs armures, mais à la fin, c'était le même garde que la derniere fois qui retenait son attention.

Une fois remis en rang il les observa tous cracher leurs poumons et pesa par la suite un regard fier sur Marcus, le garde qu'il ne connaissait pas. C'est alors qu'il vit une lueur derriere le groupe, il fronça lourdement les sourcils et observa la lueur brillante sortant du feuillage d'un arbre, de cette distance il ne pouvait voir une silhouette ou même un indice sur cette présence.

Gardes ! Nous sommes observé, regardez la lueur derriere vous, pensez vous que cela soit une intrusion ?

Il attendit des réponses.

[HRP: Je suis désolé mais je serai absent à partir de demain 5 avril jusqu'au lundi suivant, le RP sera donc retardé par ma faute, je pense pouvoir faire un petit passage le vendredi soir, bonne continuation et bonne pâque à vous !]

Croyez vous qu'ils m'aient vu ? demanda le Comte à son entourage proche, un page et deux servantes aux joues de porcelaine.

Il semblerait que oui votre grandeur, lui répondit timidement une belle soubrette.

Mais comment cela est-il possible voyons, ces soldats auraient ils le don de voyance ?

Il réfléchit un court instant, ce qui était chez lui fort commun et lui faisait parfois prendre des décisions mal réfléchie, avala dans une coupe dorée une gorgée de vin et puis dit :

Bon et bien puisque nous sommes découverts, autant nous montrer au grand jour !! Dit il en souriant, riant presque. Il se leva d'un bon et dégringola de son arbre.

De rouge sur pourpre et d'habits couleur vermeille le voici enfilant une large cape en cuir tombant jusqu'au sol dans les mêmes tons que le reste de ses vêtements.

Donnez moi ma couronne je vous prie... Ce que l'on fit et qu'il mit aussitôt, belle couronne brillant au soleil ... Il grimpa sur son cheval, celui-ci était un étalon fougueux de couleur Isabel et encore jeune. Mais Phenix était un habile cavalier. Et le voici arrivant sur le terraint d'entraînement, précédé de deux trompettes et suivit par les émeus, ces volatiles imposants qu'il avait fais venir des Afrique, ce qui formait un tableau pour le moins étonnant !

Invité

[HRP: Juste pour dire que j'ai pû passer ce soir pour poster, sinon je serai belle et bien absent jusqu'à lundi soir]

D'un coup, la lueur disparue. Le sergent venait de remettre les rangs en place quand il aperçut à l'arriere des gardes de sa troupe une silhouette s'élancée à cheval. Au début, éloignée d'eux il ne pouvait pas apercevoir qui cela pouvait bien être, mais une fois plus proche, Varlax pus apercevoir pour la premiere, avec grande émotion, que le Comte habillé de rouge et vermeille, venait à leur rencontre.

Gardes ! Saluez votre comte comme il se doit !

Tous se mirent à le saluer et à crier : "Vive le Comte !"

Varlaxs lui même se mit à se pencher pour le saluer, la main droite sur la poitrine, une fois cette cérémonie il finit par ouvrir la bouche.

Que nous vaut l'honneur de votre visite Monseigneur ? Nous étions sur le point d'intérrompre l'entrainement pour intercepté un intru, une lueur nous ait apparu, un reflet me semble t'il, pour être plus éxact Monseigneur.

Invité

VIVE LE COMTE !!! VIVE LE COMTE !!!

Voilà que toute la troupes criaient de joie, dès que les trompettes du Comte sonnèrent !

Votre Grandeur, mes compagnons et moi même nous vous présentons nos salutations, du Corps d'Armes des Gardes de Cognac.

Marcus et les autres s'inclina.

Cette année de l'an de grâce mille quatre cente cinquante huit vit l'élévation de la garde du Comte en une armée. Confiée aux soins de son Écuyer Eudes Von Strass elle prit rapidement une belle tournure. Le Comte de Cognac, que les précédents de Malfosse avait rendu méfiant vis à vis des alentours avaient du se rendre à cette évidence toute contradictoire en lui, s'armer et défendre ses terres, ses biens, ses gens, sa famille qu'il aimait par dessus tout. En arrivant sur le terrain d'entraînement il fut surpris de trouver un si grand nombre de soldats et leur accueil fut pour lui une grande joie. Ces vivas le rassérénèrent et il stoppa sa monture à la hauteur du sergent qu'il reconnut grâce aux insignes de sa fonction.

Que nous vaut l'honneur de votre visite Monseigneur ? Nous étions sur le point d'intérrompre l'entrainement pour intercepté un intru, une lueur nous ait apparu, un reflet me semble t'il, pour être plus éxact Monseigneur.

Phenix lui sourit aimablement, il n'était pas d'une nature à mentir, mais, maître de ses terres il ne pouvait dévoiler tout sur son domaine il le regarda donc avec franchise :

Sergent, nous osons espérer que notre venue ne va pas compromettre l'entraînement... Nous pensons que la lumière que vous avez vue proviens probablement d'un nid de pies, celle-ci volent souvent nos objets précieux, sans doute le soleil aura-t-il été reflété sur l'un d'entre eux.

Il regarda autour de lui, vit un jeune homme à l'allure étrange qui le salua et lui présenté ses hommages puis s'inclina respectueusement.

Il embrassa l'assemblée d'un regard puis leur dit :

Soldats, élite de Cognac, il nous est fort agréable d'être en votre compagnie. Puisque nous sommes ici parmis vous, c'est avec plaisir que nous croiserons le fer, la lance, la course et la galopade comme vous-même.

Il se retourna vers le Sergent :

Nous ne vous dérangerons point au moins ?

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Soldats, élite de Cognac, il nous est fort agréable d'être en votre compagnie. Puisque nous sommes ici parmis vous, c'est avec plaisir que nous croiserons le fer, la lance, la course et la galopade comme vous-même.

C'est avec une agréable surprise que le jeune sergent entendit la nouvelle, il recevra, lui et sa troupe de gardes, plus d'honneur de la part du comte de Plantagenêt.

Nous ne vous dérangerons point au moins ?

Aucunement votre Grandeur, c'est avec un tres grand honneur que nous acceptons. Je venais tout d'abord de leur enseigner l'obéissance aux ordres par l'épuisement physique, ces armures sont lourdes, il faut qu'ils s'y adaptent. Je pensais désormais à les entrainer au combat à main nue, qui sait si un jour ils devront vous défendre sans leurs armes.

Varlax, suite à ses paroles, réfléchissait, la venue du comte venait boulverser l'entrainement car cet exercice, étant salissant et surement trop primitif pour une personne de noblesse, ne convenait peut etre pas à un comte.

Monseigneur ... cet éffort ne serait il pas trop ... salissant ou brute pour vous ? Je n'aimerais pas être la faute d'un désarroi qui vous porterait atteinte votre Grandeur.

Invité

C'est alors qu'avant même que le comte puisse répondre, un pigeon méssagé vint se poser en bordure du térrain d'entrainement, d'ailleur Varlax avait l'habitude de voir cet oiseau gris aux tâches blanches venir ici pour apporter un méssage. Il décida d'aller récupérer le pigeon à la suite d'un hochement de tête envers le comte pour lui montrer son respect, et, àsa plus grande surprise, la missive lui était adréssé, il la lu le plus rapidement possible puis revint mettre le comte au courant de cet imprévu.

Votre Altesse, il me semble que cette missive m'oblige à abandonner l'entrainement pendant un petit moment, je suis apellé pour préter main forte à ... (se chuchotant à lui-même) he ben, c'est mal écrit ... à une arrestation apparement. Navré, cela dit l'entrainement n'est pas fini.

Le sergent Varlax se tourna vers ses soldats et désigna Marcus, à qui il ordonna de venir pres de lui,et par la même occasion, lui demanda son nom.

Soldat Marcus Sergent ! Pour servir Cognac !

Bien ! Monseigneur, si il vous plait de continuer l'entrainement pendant ce breve incident, je tiens à ce qu'un de nos meilleurs éléments soit votre compagnons lors de celui-ci ... si vous me perméttez ...

Il attendit alors un bref signe du comte l'autorisant à quitter le térrain d'entrainement pour se diriger, à dos de son cheval, vers le lieu à probleme. Mais pourquoi son aide était elle demandée ? La simple autorité du sergent de la garde d'élite ne suffisait elle pas ? Ce corp d'arme était tout comme il le pensait: Incapable comparé à la garde de Cognac. Cette derniere pensée le fit sourir.

[Varlax ==> Sujet : "Rencontre du Maréchal Adélaïde, et de l'Ecuyer de Cognac"]