Rencontre du Maréchal Adélaïde, et de l'Ecuyer de Cognac

Eudes, avec sa tenue de militaire de l'état-major, était sur son cheval blanc près de ces quartiers, attendant avec impatience son maréchal des Corps d'armes de Cognac. Au côté de son Secrétaire, lui qui est à terre.

Dites moi, Monsieur le Secrétaire, que fais Maréchal Adélaïde ? j'ai besoin de mon conseiller dans les plus brefs délais.

Le regardant, en le fixant.

Bien je la fais parvenir de suite, Mon Capitaine.

Eudes avait le sourire aux lèvres et acquisse les actions de son Secrétaire.

Adélaïde était dans son quartier des domestiques entrain de se laver les pieds lorsqu'un homme surgit de nul part vint la déranger tout en la dévisageant étrangement :

Qu'est c'que vous m'voulez vous ? Lui envoya-t-elle en pleine poire.

L'autre de lui répondre qu'il était le secrétaire de l'Ecuyer de Cognac et que celui-ci voulait le voir tout en se demandant ce qu'une vieille comme elle pouvait servir à l'armée du Comte.

Qu'est c'qu'il me veut l'jeunot, voyez pas qu'chui occupée à me faire du bien aux pieds ?!!!

Et le secrétaire lui répondit qu'il n'en savait rien et qu'elle avait interêt à se magner le train parcequ'il avait pas que ca à faire !!
Tout doux beau jeune homme, tout doux, j'va venir ! Et retournez vous pendant que j'm'habille garnement !!

Il lui rétorqua qu'il allait l'attendre dehors, grimaçant à l'idée de la voir enfiler ses braies.

Une demi-heure plus tard la voilà qui sort, habillée en Walkyrie Norvégienne avec une hache à la ceinture et une cotte de maille ainsi qu'un casque avec une plume sur le dessus.

Je suis prête allons y !! Marchez pas trop lent'ment l'gosse !

Et les voilà arrivés devant l'Ecuyer ...

Bonjour Maréchal Adélaïde.

La fixant des yeux. Avec son beau cheval blanc, Eudes fit le tour autours de cette dame, habillé, tels d'une guerrière.

REPOS !!

Disait-il avec fermeté.

Bon je vous est pas fait venir pour rien, comme vous le savez les fiançailles de la Dame de Genté ce prépare, et le Comte et sa Famille sont invité.

Eudes c'était arrêté, regardant le ciel et reprit.

Réunissez votre Corps d'Armes d'Élite et des Gardes de Cognac, et préparez la diligence du Comte.

Interpellant le Maréchal.

Ce n'est pas fini, allez faire un tour au terrain d'entrainement et vérifier le bon fonctionnement du Corps des Gardes de Cognac au nom de ma personne, et faites appelle aux gouvernantes de ce château pour nous préparer un bon repas. Le Comte sera invité dans les quartiers militaire, ainsi, le Lundi de Pâques est le jour de notre bon Comte.


Et Eudes fit un grand sourire

Eudes sourit et repris avec voix très grave.

C'est un ordre Maréchal Adélaïde !, si vous refusiez, vous ne pouvez même pas démissionner, c'est fini pour vous. Je vous ferais jeter au cachot.

Le cheval avait peur, et se mit à hennisse.

Vous m'avez entendu Maréchal ? allez au boulot Maréchal

Eudes descendit du Cheval. Se rapprochant de la vielle il se mit a chuchoter dans son oreille.

Si vous ne faites pas ce que je dis, vous allez souffrir.

Criant d'Autorité.

Secrétaire, veillez a ce que le Maréchal effectue mes ordres et prévenez moi, si elle faillie a ces taches.

S'adressant au Sergent.

Sergent, vous superviserez l'affaire, je compte sur vous.

Puis Eudes attendit le rapport d'autorité.

Elle n'avait ouvert la bouche face à la mauvaise foi de la Maréchal, une vrais harpie cette bonne femme, elle ne la connaissait que de renom et pensait souvent que l' on exagérait mais elle devait se rendre à l' évidence ce n' estait pas mince affaire que celle-ci. Elle ne pouvait ne s' exprimer quand beuglant ce qui commençait à l'irriter .

Droite sur sa monture, elle souriait en coin se demandant comment son supérieur allait s' en sortir bien qu'il avait un ton d' autorité la maréchal n' en faisait que fi.

Citation :

Sergent, vous superviserez l'affaire, je compte sur vous.

-Heu, à vos ordres.

Un soupire s' échappa d' entre ses dents, espérant remettre dans le droit chemin cette vile créature

Avec ces yeux, il regarda toute la scene, qui ce jouait devant lui. Eudes fit trois pas en avant, puis un demis tour, et fit 3 pas en arrière, levant la tête en direction du ciel, il sourit pensant au Très-Haut. Retournant sur la scelle de son cheval blanc tout en regardant son sergent qui était au rapport.

Merci Sergent ! je sais que la personne responsable du Corps d'Elite de Cognac est une personne expérimenté, et qui faillie jamais à ces taches.

Avec un sourire au coin Eudes en était très heureux, de savoir que tout se portait a merveille et Eudes regarda la vielle pie. On verra qui rira le dernier, et Eudes fit un cleins d'œil au Sergent GLORIANNA.

Repos sergent ! voilà votre première mission, qui nous tient très à cœur, pour raison professionnel.

Regardant son Secrétaire et le regardant de travers pour montrer son autorité et ceux des Sergent.

Faites moi penser, de présenter le Comte de Cognac au Sergent Glorianna.

Oui, Mon Capitaine

Et Eudes voyait bien, que son secrétaire en était fatigué de suivre l'Ecuyer de Cognac, alors il reprit.

Secrétaire, vous méritez de grandes récompense, sachez, je ne l'oublierais pas.

Adélaïde fut jeune et belle autrefois, de cette beauté il ne restait rien qu'un souvenir lointain chez quelques vieillards éparpillés dans ce monde. Grande, mince, des cheveux longs et noirs, un visage tout blanc, des yeux en amandes, des dents éclatantes telle avait été celle qui jadis fréquentait les plus glorieuses sociétés à travers les royaumes. Elle avait même fricoté avec quelques têtes couronnées, jusqu'à ce qu'un jour son destin croisa la famille Plantagenêt...

Des secrets d'alcôves de cette histoire là il ne restait plus rien dans les esprits de personnes et elle se revoyait, robe blanche voletant dans le vent du printemps, un nourrisson dans les bras, le Comte de Cognac, dont on lui avait confié l'éducation. Toute sa vie elle l'avait consacrée à cet enfant puis à cet homme, omettant la sienne, oubliant jusqu'aux parfums de l'amour.

Et la voilà assise là, sous un arbre, sur ce terrain d'entraînement, habillée en Walkyrie, mangeant des pommes, avachie dans l'herbe grasse du printemps émerveillé ...

Une vieille femme sans presque plus de dent ni de cheveux, au menton allongé, au nez crochu, à la peau tannée, aux rides accumulées sur un visage au triple menton et aux yeux en amandes devenus fripés. L'aigreur de cette femme là ne venait pas de l'estomac oh non, mais d'une vie de servitude passée à contempler un monde qui s'était éloigné d'elle sans qu'elle s'en aperçoive...

Une femme vint l'interpeller, elle ne la connaissait pas, elle la foudroya du regard, de ce regard qui en disait long sur sa mauvaiseté, sa haine, sa malveillance ...

Elle lui jeta son trognon de pomme au visage !!

Tais toi la gueuse ! Va plutôt essuyer les bottes de c'gamin là, et laisse moi m'repose, tu vois pas que chui occupée à contempler ma fainéantise ?

Elle eut un rire sarcastique et vociféra :

Tas qu'à l'faire toi-même c'boulot là c'est pour une bonniche et tu en as tout l'air !!

Elle croqua dans une nouvelle pomme, enfin croquer c'est beaucoup dire car sans dents ... Et du jus de pomme lui coulait sur le menton ...

MARÉCHAL !!!!!

Eudes descendit de sa scelle.

POUR QUI PRENEZ VOUS MARÉCHAL ?????

La regardant de travers.

C'est un ORDRE, ou vous serez JETTE AU CACHOT et rétrogradé sachant que vous ne pourrez pas quitter l'armée actuellement !!!!

regardant son sergent.

Sergent à vous l'honneur, si vous avez besoin d'aide envoyé une missive au Sergent Varlax, elle est très dure a faire bouger celle là, tenez mon pigeon.

Eudes lui tendit son pigeon adoré.

Prenez en soin

Les regards se croisérent et se jaugérent, elle ne baissa point pavillon au contraire elle en avait croisé des teignes en sa vie et ce n' estait point cette chose qui allait commencer.Sa main trouva machinalement le chemin de sa poche et en sortit un mouchoir de dentelle avec lequel un essuya son visage, un sourire sur les lèvres.

-Est ce cela donc la seule façon de vous exprimer? vous estes navrante Maréchal.

Citation :

Tais toi la gueuse ! Va plutôt essuyer les bottes de c'gamin là, et laisse moi m'repose, tu vois pas que chui occupée à contempler ma fainéantise ?

-Si vous continuez en ce sens vostre fainéantise vous pourrez la considérez dans un trou de geôle et je me ferais plaisir à en jeter la clé.N' oubliez point à qui vous vous adressez en parlant de L'Ecuyer.

Citation :

Tas qu'à l'faire toi-même c'boulot là c'est pour une bonniche et tu en as tout l'air !!

Elle resta de marbre, bien qu'elle lui aurait bien tordu le cou et fait ravaler ses paroles.SA bouche s' ouvrit pour rétorquer lorsque L'Ecuyer intervint.

Citation :

Sergent à vous l'honneur, si vous avez besoin d'aide envoyé une missive au Sergent Varlax, elle est très dure a faire bouger celle là, tenez mon pigeon.

-J'y veillerais comme à la prunelle de mes yeux.

Elle se retrouva bête avec le pigeon en les mains ne sachant qu' en faire, elle alla vers son étalon et glissa le volatile dans son carnier.Une fois le volatile en sécuritée, elle revient vers la Maréchal et d' un geste vif lui ôta la pomme qu'elle tenait précieusement en ses mains et la jeta par dessus son épaule.Il estait temps de bouger cela n' avait que trop duré.



-Maréchal ne m' obliger point à employer la maniére force , je vous trainerais moi mesme si je le dois.

Il y a fort longtemps de cela Adélaïde excellait à la chasse en compagnie de beaux damoiseaux qui lui faisaient la cour. Elle montait les chevaux en amazone, laissant libre à l'air de dévoiler le galbe parfait de sa cuisse, affolant ses poursuivants. Sportive et menue elle sautait les obstacles comme les écureuils. grimpant de branches en branches, avec dextérité, souplesse, gracile et belle, voilà ce qu'elle était. Mais la femme en face d'elle ignorait tout cela, ne voyant qu'une masse graisseuse étalée dans l'herbe et haranguant telle une poissonnière tout ceux qui se trouvaient à sa portée. Pouvait elle s'imaginer que cette femme, oui elle, Adélaïde, avait refoulé aux plus basse fosses des princes, des ducs, des généraux et même certains troubadours qui ne sont pas tous, contrairement à la légende, de voile et de vapeur.

MA POMME !!! Hurla-elle en un crie à la fois d'effroi et vigoureux...

Elle se précipita sur la femme qui lui paraissait des plus odieuses et son poids aidant l'entraîna dans une chute qui les menèrent toutes deux à rouler dans l'herbe comme des novices dans un couvent, sauf que là la mère supérieure était aussi lourde qu'une jument pleine.

AH LA GUEUSE !! TU VAS ME LE PAYER !!

Elle la saisit par le col et la secoua comme un prunier bavant au passage ce qui ne lui rendait nulle grâce aux yeux de personne. Tournoyant, roulant, tombant, traînant, salissant voilà qu'elle l'amenait tout droit dans une marre boueuse où quelques fois les porcelets du Comte aimaient à s'esbaudir.

Et les voilà dans la boue ... Formant un tableau typique en ignorant que plus tard cela paraîtrait fort amusant à une certaine catégorie de la gente masculine...

Voyant de loin Héléonore, Eudes était heureux de la voir, mais il était dégouter car il fallait là traiter comme un vrais soldat.

Soldat Héléonore !! on ne s'adresse pas a un sergent qui effectue mes ordre de cette façon !

S'arrêtant puis reprenant.

Soldat Héléonore ! Votre père ici, c'est moi !

Eudes aimait trop Héléonore, cela lui faisait de la peine de lui parler de cette façon... Mais tels était les ordres de son supérieur, le Comte de Cognac, Eudes se devait de reprendre.

Soldat Héléonore, arrêter sur mon ordre, Le Maréchal Adélaïde, pour manquement a mon autorité. * En soupirant * et c'est un ordre !

Avant qu'elle ne puisse répondre, Eudes reprit.

Inquiétez vous pas je vous accompagnerais au campement.

Eudes s'arrêta regardant le ciel et reprit.

Et J'y pense, la demoiselle dont vous avez dit d'arrêter, est votre sergent, c'est le sergent du corps d'élite de Cognac !

Eudes fit un clin d'oeil a son aimé, il voulait montrer qu'il en avait rien contre elle, de plus il l'aimait la folie, mais un bon soldat est entrainé de cette façon, et il savait qu'elle avait l'esprit guerrière.

Elle n' eut le temps de réagir ne s' attendant point à cet assaut.Elle suivit bien malgrés la culbute s' ensuivant d' une belle roulade, elle essayait désespérement de se déctacher des bras puissant de la maréchal.Avec tout ce gras qui enrobait la maréchal ses coups avaient l' air de se heurter à du beurre.Elle sent ses vêtures se coller à son corps et une odeur putride lui agresser les narines.Elle regarde autour d' elle et dans un élan d' insastifaction prend la tignasse de la maréchal.



Ah vous aimez vous vautrer dans la boue et bien profitez.

Elle lui enfonçait la teste lorsqu'elle entendit

Citation :

Adélaide cela suffit maintenant ses gamineries et je le dis autant pour la Dame à vos côtés. À cognac on ne tolére pas les enfantillage et les abtailles. alors ça suffit sur le champs ou toutes les deux vous aurez des ennuis auprès du Comte mon père...

*Hey bien il ne manquait plus que cela la fifille à papa qui arrive*....Elle relâche légérement sa prise et essait de ramener la Maréchal sur le sol avec difficultée *mettait le poid de la dites personne et le surplus de boue*Elle fut soulagée que L' ecuyer vienne à son aide parlant faisant.Elle lacha la Maréchal et essaya se retirer la boue qui maculait son uniforme, elle estait bonne pour un bon bain.Elle jeta un regard noir vers la Maréchal ¨*elle ne perdait rien pour attendre*.Elle était à l' écoute et se demandait qui devait faire l' arrestation..........

Que le Maréchal et le soldat Héléonore soient jeté aux Cachots !!! c'est un Ordre !!

Dit-il avec autorité.

Oui vous m'avez bien entendu, même la fille du Comte ! elle veux être traité comme un soldat, qu'il en soit ainsi ! personne ne conteste à mes ordres...

Et Eudes fit un signe de mains et reprit.

Ce Corps d'Armes sera bien dirigé, et sera soumis à l'autorité, ce qui emmène a de bon résultats, c'est moi qui vous le dit !

Citation :

Que le Maréchal et le soldat Héléonore soient jeté aux Cachots !!! c'est un Ordre !!

-C'est avec grand plaisir que je les y améne....Je vais avoir besoin du Sergent Varlax connaissant plus les lieux que moi ainsi je pourrais me faire une idée de sa personne.

Avoir à surveiller les deux d' un coup elle le pouvait certainement, mais sa méfiance vers la Maréchal l' incitait à prendre des précautions double.Elle s' approcha de sa monture, prit un morceau de papier et griffonna vite un petit mot, sortit le pigeon de la sacoche et accrocha le papier à sa patte sans plus attendre elle le laissa s' envoler.Revenant vers les interpellées elle Salua le soldat Heleonore et non la fifille du Comte....

Je ne pense point qu'il faille vous entraver quoique se soit, j' aurai bien peur que vostre peau si délicate soit égratignée.

Puis se tournant sur la Maréchal.

-Et vous tenez vous tranquille si vous ne voulez goûter à mes semelles.

Sourire satisfait sur son visage de marbre.

Varlax arriva fierement à dos de cheval, ce n'était d'ailleur pas pour se faire remarquer, c'était surtout dû à son mal de dos qui l'obligé à se tenir droit, surtout à cheval. Arrivé sur les lieux, le sergent observait la scene, il avait déja remarqué l'Ecuyer à qui il devait déja beaucoup de l'avoir promu Sergent, un soldat, une femme apparement, et deux autres femme pleine de boue. La premiere paraissait tres agé et sa tenu, pas vraiment visible à cause de la boue, ne semblait indiqué aucune appartenance à l'armée ou à une noblesse quelconque, alors que la deuxieme, malgres la terre boueuse qui la recouvrait, avait une posture droite et paraissait jeune, on pouvait deja voir un semblant d'uniforme.

Varlax descendit de cheval, ses longs cheveux, lui donnant un visage assez féroce, étaient ruisselant de sueur et volaient un peu au vent. Le sergent posa un regard sur l'autre, celui-ci n'en disait pas long mais Varlax resta quelques secondes à la regarder. Il se tourna ensuite vers le Capitaine pour le saluer.

Capitaine ! Sergent Varlax au rapport ! L'entrainement se déroule à merveille, je suis fier de mes hommes, la Comte nous a rejoind, il s'est d'ailleur proposé de nous accompagner dans nos éxercices.

Varlax se tourna alors vers Glorianna et laissa apparaitre un large sourire qui le rendit moins "féroce", il paraissait plus euphorique.

Vous devez être le Sergent Glorianna qui m'a envoyé cette missive. [Il montra la lettre] Je suis surpris de voir que votre autorité ne suffit pas à une simple arrestation. Cela dit, elle doit être à la hauteur de la réputation du Corp d'Elite de Cognac ! ... [Sur un ton sec] Quelle est la situation ?

Oui ce sont mes ordres, faut punir les mutineries et c'est ce que je sanctionne sévèrement !!

Eudes regardait tout ceux qui étaient présents, les Soldats, les deux sergents, le maréchal délinquante et son aimé borné. D'un signe de main et d'un regard puissant et troublant, il fixait l'assemblée.

Sergent du corps d'élite veuillez faire régner l'ordre !

Regardant le sergent du corps des gardes de Cognac.

Sergent, il y a des mutineries et je refuse toute armistices. Si il ne respecte pas, ils passerons en la justice des armées, et je me porte garant, il ne quitterons pas l'armée, il seront puni par la volonté du très-haut.

Marquant un arrêt il reprit en se retournant.

Il vont voir c'est quoi de refuser d'obéir aux ordre militaire !

Et Eudes regrimpa sa scelle et adressa une dernière phrase.

Ensemble nous y arriverons !!

Citation :

Vous devez être le Sergent Glorianna qui m'a envoyé cette missive. [Il montra la lettre] Je suis surpris de voir que votre autorité ne suffit pas à une simple arrestation. Cela dit, elle doit être à la hauteur de la réputation du Corp d'Elite de Cognac ! ... [Sur un ton sec] Quelle est la situation ?

Elle toisa le jouvenceau vaniteux, se disant encore un morveux qui a les dents longues.Elle s' avança vers lui, tout en frottant sa veste, à sa hauteur elle se figea face à lui et fixa son regard. Le sien estait froid ne laissant rien transparaître.Elle ne dit mot, son regard estait assez expressif pour qu'il comprenne qu'elle n' estait pas à prendre à la légére.Tourne les talons et écoute l' écuyer.