Domaines des Comtes de Cognac
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 Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit

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Phenix de Plantagenêt
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MessageSujet: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptySam 24 Juil - 2:00

Soixante seize ... C'était le nombre exact de chevaux montés par des soldats en armures allant au galop et entourant le chariot tout ferré où se trouvait Héléonore de Plantagenêt. Pourquoi soixante seize ? Seul le Comte de Cognac aurait pu le dire ... Dans les chroniques du moine Sigismond de Hainault on peut lire :

Citation :
"Il advint, dans l'année mille quatre cent cinquante huit, au cours de l'été que le Comte (de Cognac) fit engeôler sa fille Heleonore aux terres dictes de Châteaubernard size le Castel de Cognac parcequ'elle avait moult fois menti et fait des cavalcades à son noble père. Il la fit venir entourée par 76 soldats qui furent autant de fois les contrariétés faictes au Comte..."

Et il rajoute plus loin :

Citation :
"Afin de satisfaire aux demandes du Comtes le convois fut ralenti aux abord de la Seigneurie de sa fille afin que nul n'ignorasse sa venue et les raisons de celle-ci. Maréchaux, baillis et sénéchaux durent faire venir la populace le long des chemins pour qu'ils vissent le spectacle de son arrivée, ce qui fut une grande et honteuse vue pour elle..."

Il faisait beau temps ce jour là, la belle n'avait qu'une infime ouverture pour voir le paysage défiler devant elle le long des abords des rivière cheminant sur ses terres. Paysage altéré par la poussière soulevée par les lourds destriers qui l'escortaient. Soudain le rythme ralentit, la carriole fort peu confortable sembla rouler lentement et on ouvrit les lourdes tentures de cuir sur les côtés de l'attelage, Le soleil brut ne manqua pas d'éclairer les abords de la route .... toute pleine de la foule des environs.

Et voilà que la fille jolie du Comte pouvait être vue par tous, maîtresse déjà prisonnière de ses propres terres ... Personne n'osait croire qu'un destin si funeste allait être le devenir de la jeune fille dont les blonds cheveux étaient tout collés de sueurs car il faisait fort chaud. Un Héraut sonne la trompe, on arrivait au Castel de ChâteauBernard. Elle put voir la bâtisse, belle et empreinte de mélancolie, posée sur les rives d'un étang scintillant, ses belles tours donnant vers les cieux une dentelle artistique et tout autour un parc naturellement beau, parsemé d'arbres centenaires, emprunt de douceur et de bienveillance...

Cependant, alors qu'on ralentissait encore la cadence elle put voir s'éloigner le bel endroit pour se rapprocher d'une bien vielle tour carrée entourée de fosses, toute grise et froide, à l'ombre d'une crête. L'attelage stoppa net et trois soldats l'entourèrent sans mot dire. Que vit elle à cet instant ? Une ombre vêtue de noire l'attendant sur les marches de la tour... Adélaïde.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyJeu 5 Aoû - 3:05

Voilà qu'en ce jour du 23 juillet 1458, une jeune femme bien malheureuse voit sa vie chavirer du tout au tout sans qu'elle ne puisse rien y changeait.
Le matin on était venu la chercher de force et on l'avait affublé d'une robe de prisonnière.

Heleonore avait vu son père et avait hurler en lui demandant pourquoi lui faisait-il cela. Il lui avait expliqué qu,elle avait souillé leur nom et qu'elle ne méritait pas de rester en ce domaine. elle serait garder prisonnière par la vieille harpie de nourrice Adélaide sur les terres de la seigneurie de châteaubernard.

La pauvre jeune fille la tête basse laissa les soldats la conduire dans ses nouveaux appartements. en fait, souffrant de la chaleur la belle suait beaucoup et avait bien de la misère à respirer et souffrait de la soif. Sa tête tournait sans cesse et elle crut qu'elle allait s'évanouir lorsqu'elle vit tous les paysans qui la fixaient en secouant la tête. Jamais encore on ne l'avait traité comme une moins que rien et elle en souffrait beaucoup.

Heleonore voyait son père à l'avant et essaya de voir son regard, mais il lui faisait dos et ne semblait pas vouloir la voir. La jeune femme vit l'affreuse tour carré et lorsqu'elle vit Adélaide, elle se mit à hurler et essaya de sortir de la cage de fer pour s'échapper, car elle savait que la vieille nourrice ne serait pas douce avec elle et même qu'elle risquait peut-être la mort.

On ouvrit la porte et on la tira violenment vers l,extérieur de la cage et la jeune femme hurla son désespoir en voyant l'harpie approchait d'elle. Heleonore regarda son père et dit tout en se débattant:



Père je vous en supplie ne me laissez pas toute seule avec elle.. je vais mourir..je vous en prie je ferrais tout... je ne peux pas... NOOOOOOONNNN !!!!!
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 20:30

Le Comte de Cognac, qui avait devancé le convois était sur son cheval aux abords de la vieille tour. Il portait sur lui une armure finement ciselée dont le dos était recouvert d'une cape rouge s'étalant sur la croupe de son bel étalon, sur sa tête était un casque doré dont le sommet portait des plumes d'autruches et sur ses jambes de longues bottes de cuir rouges. On aurait cru voir un bel oiseau ainsi perché si ce n'était son air grave et ses yeux gris des mauvais jours. Il vit arriver sa fille que l'on dirigea vers lui et entendit ses supplications sans broncher une seule fois. Prenant le fouet qu'il avait à sa ceinture il fit claquer sinistrement sur le sol, ce qui fit sursauter Adélaïde qui déjà tendait ses bras vers la dame de Châteaubernard l'air bienv... malveillant.

Personne n'osait plus parler et on entendit bientôt la voix grave du Comte comme portée par le vent dire :

Ça suffit je ne veux plus rien entendre !! Vous voilà avec un choix de prime état devant vous et ce choix va être vite pris ici devant tous !

Déjà son héraut particulier qui notait tout s'empressa de tremper sa plume dans son encrier ...

C'est la tour avec Adélaïde ou le mariage avec Eudes Von Strass et d'Acoma, Seigneur de Gensac, j'ai dis !!
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 22:12

Heleonore avait beau supplier son père ses yeux ne changeaient pas bien au contraire ils devenaient de plus en plus mauvais.

La jeune femme vit Adélaide qui avait déjà l'air de se lécher les lèvres en pensant à tout ce qu'elle pourrait faire subir à son nouveau jouet.

Heleonore avait beau se débattre les gardes continuaient en l'emporter vers cette vieille harpie. la jeune femme voyait sa dernière heure arrivée. Puis tout à coup elle vit le Comte de Cognac prendre son fouet et faire un mouvement vers elle.

Heleonore voulu pousser un cri en pensant qu'il allait la fouetter, mais il fit claquer son fouet au sol tout près d'elle .toute tremblante elle arrêta de se débattre et leva ses yeux bleu vers l'homme si puissant qui était son père et cela la fit frémir un peu plus. tout à coup il lui proposa de faire un choix.

Qu'est-ce qui été pire ? Passer sa vie avec Adélaide où être avec un homme qui semblait toujours avoir des sentiments pour elle.

Heleonore leva la tête vers le Comte et dit d'une voix un peu apeurée :


père je vou en prie je ferrais tout pour ne pas rester avec cette femme horrible et malveillante.Je..je.. j,accepte d'épouser le seigneur de Gensac... je..je..me soumet à votre volonté..

Heleonore baissa la tête et toujours un peu tremblante attendit la réponse de son père et en avait bien peur, mais son choix était pris elle allait devenir l'épouse d'eudes devant Dieu et devant le peuple...
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 22:37

Pour toute réponse Heleonore vit arriver vers elle un homme qu'elle ne connaissait pas, petit, chauve, sans dents, et avec un ventre bedonnant ayant du mal à avancer. Il avait une haleine effroyable, mélange de fromages diverses et de chicots en tout genre, comme il avait le nez bouché, il souffla au visage de la belle entre deux mots.

Madame, lui dit-il, on me nomme habituellement Maître Enguerrand Evrard, je suis l'huissier de Cognac, votre père ici-présent, il le lui indiqua de son menton grassouillet, a fais rédiger cet acte, dont je vais vous lire le contenu et que vous devrez signer céans.

Dans un silence morbide où seule les froissements des tabliers d'Adélaïde se faisaient entendre car elle s'était approché pour lire et entendre, Heleonore fut ainsi avisé dudit acte :

Citation :
En Cognac, vingt trois juillet, an de grâce mille quatre cent cinquante huit,

Par la présente, Nous, Heleonore Mathilde Ségolene Aymée Bertrade de Plantagenêt, Dame de Châteaubernard, aimante fille de Cognac, approuvons et chérissons la décision du Comte nostre père et acceptons dans une grande joy de nous unir à Eudes Von Strass et d'Acoma, seigneur de Gensac jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Nous serons fidèle épouse, enjouée, avenante, présente, et mère parfaite de nostre nombreuse descendance à venir. Nous ne reconnaîtrons nul autre maître à nous-mesme que le ci-avant nommé Seigneur de Gensac La Pallue.

Signons ledit acte de nostre main, afin que nul ne puisse le contester, ni nous-même, ni nul autre à venir,

Avons lu et approuvé ledit decrêt


Alors que dans un dernier souffle fétide, l'huissier allait parler, le Comte de Cognac le coupa net :

Qu'on lui apporte la plume, qu'elle signe !
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 22:45

Heleonore aurait cru que son père parlerait, mais un homme chauve et qui sentait horriblement mauvais approcha d'elle avec un sourire troué.

le coeur de la belle se souleva en le voyant et eu bien du mal à ne pas être malade.

Il lui dit qu'elle devrait signer et cela mit en horreur la jeune femme qui devait maintenant être sous contrat. Elle se mit à lire l'édit et toujours tremblante se fit relâcher pour qu'elle puisse signer.

Heleonore sentait le poids de tous les regards posés sur elle. la pression pouvait se faire sentir et la belle fini par prendre la plume qu'on lui tendait.

elle prit quelque minutes avant de la mettre dans l'encre et de signer de sa signature et quand elle redonna la plume, elle releva la tête et défia presque son père du regard et dit seulement:


Je suis prête à suivre mon destin père...
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 22:50

Le petit homme s'empressa de prendre le vélin et l'enfourna dans sa serviette en reculant en se dandinant. C'est à ce moment là que le Comte dit :

En attendant votre destin vous séjournerez en votre demeure de Châteaubernard, sous surveillance, jusqu'à ce que vostre promis vienne vous chercher !

Il se tourna vers Adélaïde :

Ma chère amie faites en sortes que la châtelaine ne manque de rien durant son séjour, vous veillerez sur elle, je le veux !

Soldat ! Accompagnez et surveillez Châteaubernard, seul le Seigneur de Gensac, nous même ou la comtesse avons crédit pour y venir !

Puis il partit au galop, sans même un regard vers sa fille tant ses yeux lançaient encore des éclairs.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyLun 9 Aoû - 22:56

Heleonore vit bien que son père était toujours en colère, mais la jeune femme savait au moins qu'elle avait fait le bon choix.

Lorsqu'elle entendit le comte dire qu'elle resterait sous haute surveillance, elle comprit que sa vie pendant quelques temps serait un vrai cauchemar, mais que ce ne serait que pour un temps.

Heleonore se fit mener par les gardes et par la vieille chouette et on l,installa dans ses appartements.

La belle épuisait se coucha sur son lit et éclata en sanglot et à bout de force s'endormit et espèra qu'eudes viendrait bientôt pour faire taire ce cauchemar...
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyMar 10 Aoû - 1:03

Après avoir chevauché en compagnie de ces gens depuis le château de Gensac-la-Pallue, grand édifice sise en sa belle Seigneurie, Eudes décida de passer par de magnifiques forêts, rivières, par des grottes somptueuse et des champs remplis de blés. Mais cette envie, lui fit retarder énormément, alors qu'en route il apprit par le biais de son pigeon Edwige, que celle qu'il avait aimé autrefois était et serait promise, celle à lui, et cela lui fit réellement plaisir même si en chemin il le montrait que très peux.

Arrivant en une heure assez tardive pour cette journée, il se retrouvait enfin devant un grand édifice, l'édifice qui fut surement le Château des Seigneurs de Châteaubernard et qui est désormais celui de sa belle. Voyant des soldats en faction, Eudes descendait de son beau cheval blanc, en faisant un signe de salutation à l'aide de sa tête.

Soldats, je suis Sire Eudes Von Strass & d'Acoma. Je demande à pouvoir passer avec mes compagnons d'armes.

Habillé de bleu et de blanc comme l'était sa cape, il s'était fait tout beau pour sa princesse. Sur sa tête, il avait un casque aux couleurs noir et argenté, le tout, surmonté de quelques plumes d'or de paon. Suivant l'un des pages, il fut emmenée devant Héléonore, sa belle et promise. Saluant le Page avec un sourire si doux que de la braise, il se tourna en direction de celle ci. Sa marque de salutation était pour cette fois ci, par respect, un baise main.

Bonsoir Dame.

Souriant aux anges, Eudes reprit la parole après s'être assis sur le lit de sa noble futur épouse.

Comment allez vous ? j'espère ne vous avoir pas trop fait attendre, ce n'est pourtant pas à mon habitude !

Riant par plaisir et par joie, il fit appelle à l'un de ses serviteur.

Richard, venez je vous pris !
Sire ?
Richard, pouvez vous faire quelque chose pour moi ?

Bien sur sire, je ferais tout pour vous, Sire !
Merci Richard, pouvez vous apportez des dizaines de roses, fraichement cueillit dans la foret, en prenant soins d'enlever toutes les épines à dame de Plantagenêt ?
Bien sûr sire, bien sur !
Merci Richard, vous êtes un ange !
C'est trop d'honneur Sire, mais avec plaisir, Sire !

Après avoir donné ses ordres, Eudes veilla du regard la mission donné à son page. Voyant au loin un parchemin sur une table de chevet, il se leva en zyeutant à travers les grandes fenêtres, où il y avait tout un peuple, celui de Chateaubernard.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyMar 10 Aoû - 4:13

Heleonore qui avait fini par s'endormir malgré sa peu et sa peine d'être avec la vieille nourrice .

Quelques heures plus tard on vint la réveiller en lui disant que messire le Seigneur de Gensac voulait la voir.

La belle se releva un peu de sur son lit, mais ne fit aucun mouvement pour se relever se sentant bien faible. elle N,étais pas très présentable à son futur époux, mais elle ne s'en préoccupa pas trop.

Lorsqu'elle le vit elle força un sourire, mais vit bien que cela faisait grand plaisir à Von Strass de se marier avec elle. ne savait-il pas qu'elle avait accepté seulement pour échapper à un sort encore plus triste ?

elle resta silencieuse et fut bien surprise lorsqu'on lui offrit une douzaine de rose. elle fut bien plus touchée qu'elle l'aurait voulu et après aussi le baise main elle la retira presque comme si elle c'était brûlée.

La jeune femme fini par dire:


messire Von Strass je suis désolée d'être peu présentable devant vous, mais je n'ai guère de force pour me préparer pour vous. Cela me fait plaisir de vous voir, mais pouvez-vousme laisser un peu de temps de me changeait et me rafraîchir pour vous et si vous le souhaitez nous irons nous promenner un peu prendre l'air et peut-être voir mon père aussi.[/i]
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyDim 22 Aoû - 0:39

Peu présentable, peu présentable...

Un grand sourire vennait à ce coller sur le visage fin de Eudes, il eut comme une illumination soudaine, mais après avoir bien réfléchit, il avait décidé de rester correct et de continuer sur la voie des anges.

Ce n'est point grave, nous sommes entre nous...

Se tournant auprès des damoiselles de chambre

Pouvez vous nous laisser seuls quelques instants je vous prie.

Une fois que ses jolies dames venaient à quitter cet endroit, Eudes s'approcha de Héléonore.

Nous irons nous balader, une fois que nous nous serons vu tout les deux, face à face.


Réfléchissant.

Donc, comme votre comportement le démontre parfaitement, vous êtes soucieuse, n'est-ce pas ?


En riant.

Bref, je ne vais tarder sur ce préface donc... Cela vous fait plaisir que je sois ici...


Il ne termina sa phrase, et laissa sa main glisser sur l'épaule droit de sa belle en déposant ses lèvres sur le cou de celle ci.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyDim 22 Aoû - 1:15

Heleonore qui croyait que le jeune homme la laisserait se changeait fut bien surprise lorsqu'il ordonna à ses femmes de chambres de partir.

La belle eu un instant un peu peur de ce qui allait lui arriver et recula d'un pas la tête basse. cela ne charmait guère la jeune femme d'être ainsi seule avec son futur époux. Ne comprenait-il pas qu'elle avait dit oui non par amour, mais bien parce qu'elle n'avait pas eu le choix. Oui elle avait été touchée pendant un moment, mais maintenant elle se souvenait pourquoi elle était prise dans cette situation .

Heleonore ne souriait point et ses yeux étaient fermés sans aucun signe de joie. La jeune femme le vit approchait et ne bougea pas tremblant un peu. Il dit quelques mots et la belle resta silencieuse sans bougeait. Il ne fini pas sa phrase qu'il vint tout contre elle et elle put sentir ses douces lèvres sur la peau de son cou ce qui lui donna un frisson très agréable.

Soupirant de désir, Heleonore sentit toutes ses barrières s'effondraient d'un seul coup.

Essayant de ne point lui montrer qu'il venait de trouver son point faible, la fille du comte essaya de reculer, mais plus eudes se faisait insistant plus elle se laissait tenter.

Son souffle devenant court, elle laissa tomber sa tête vers l'arrière et souffla:


Messire eudes...je...je... il faut..faut..que..que.. nous..nous parlions...


Heleonore n,arriva pas à finir sa phrase la tentation devenait trop forte. elle n'aimait pas plus cet homme , mais l'appel de son corps était bien plus grand.

La belle tranquillement se laisser avoir.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyMar 24 Aoû - 1:35

Avec un grand sourire.

Vous... vous.. ?

Alors, Eudes la regarda droit dans les yeux.

Donc va falloir que l'on parle... nous... Ahum, je vous écoute !

Finissant sa phrase, il continua ses douces caresses.
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MessageSujet: Re: Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit   Vingt trois juillet an de grâce mille quatre cent cinquante huit EmptyMar 26 Oct - 8:39

Heleonore qui peu à peu se laisser amadouer par les douces caresses de son futur époux, essaya tant bien que mal de se contrôler et de ne rien laisser voir de son désir qui grandissait très vite.

La belle jeune femme fini par ouvrir les yeux et se sentit un peu mieux lorsqu'il recula pendant un moment, mais ses mains restaient toujours contre sa peau. Qu'avait-elle fait pour qu'il continue ? Que lui voulait-'il vraiment ?

Bon voilà elle devait lui parler et elle ouvrit longtemps la bouche et la referma puis se reprit à nouveau, mais n'arriva pas plus à sortir un mot.

Comment voulait-il qu'elle parle lorsque son futur époux continuait ses caresses tentatrices ?

la pauvre cherche un échappatoire et se tasse un moment sur le côté et dit en le fixant droit dans les yeux:


Mon cher vous ne voulez pas plus que moi ce mariage. Nous le savons tous les deux. Pourquoi alors vouloir tout pousser comme ça? Pourquoi vouloir vous mariez toute de suite ? Nous avions tant de temps devant nous. Pourquoi nous presser ? Oui il est vrai que cela fait bien longtemps que nous nous connaissons, mais as assez encore. Il faudrait convaincre mon père que ce serait ridicule de nous marier...

Heleonore avala sa salive cherchant à oublier cette main qui la caresse et essaya d'éviter son regard pendant un moment. Qu'allait-il dire ou qu'allait-il faire ?
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