Sur le chemin des marais.

Frah qui avait quitter Sarlat, fit un détours par les marais du Conte de Cognac, après tout…elle pouvait passé par ou elle voulais…

Après des jours de cheval, elle regardait les marais qui se trouvaient devant elle…
Laissant la vie derrière elle…
Cela n’était pas des plus accueillent, mais elle avait connut pire…

Frah descendis de cheval pour qu’il se repose un peu…et le tenant par les rênes et avança tranquillement…

Frah avançait toujours tranquillement avec son cheval…l’endroit sentait vraiment une infection…
Mais après tout les avait fait des batailles…

Elle faisais quand même attention ou les mettait les pieds….
Frah n’allais pas entrer dans le domaine du Comte…mais juste passé…

Elle resserras sa cape contre elle, il faisait froid encore et surtout humide dans le coin…

Mais quelle idée de passé par là…
Frah s’en moquait un peu…

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

Sa horde était parti en avant, dans les marais où ils allaient prendre otage. Malfosse était resté en arrière, il ne connaissait que trop la vil Orphée qui lui avait promis de delicieuses situations entre les feuilles mortes, et la boue aux miasmes qui l'entourait. Il avait grimpé dans un vieil arbre centenaires aux larges branches dénudées. Il portait une cape de la couleur de l'hiver, se confondant tout à fais avec l'endroit, on ne pouvait le voir, ni même entendre sa respiration saccadée. Accroupi tel une bête, l'oeil unique lançait un regard affuté.

Il vit alors une jeune femme arrivant sur monture, vers lui. Il comprit qu'il s'agissait de la victime du Comte, et sourit cruellement. Ainsi il allait pouvoir tenir entre ses mains la convoitise de Cognac.

Plus près, encore plus près, approche...

Dans un bond silencieux il sauta sur Frah, la faisant tomber au sol tandis que le cheval partait au loin, s'enfuyant et qu'une nuée de corbeaux s'envolaient. Saississant aussitôt les poignées dans le dos de la jeune femme; il l'encorda puis l'aida à se relever et enfin, tête penchée, oeil unique observant le fin visage :

Bienvenue dans mon domaine de Malfosse, étrangère, où sont les écus de votre passe-droit ??

Frah avait toujours tranquillement…pensant as tout ce qui fut sa vie par le passé…

Quand, elle se retrouva as terre, avec un homme qui lui attachait les poignets.
Elle n’avait pas eu le temps de réagir…seul son cheval avait pris la fuite…
Sa hache lui avait heurter la jambe…Frah sentait toujours son épée contre elle, couvert sous sa cape…
Frah sentait juste une brûlure as l’endroit ou sa hache était placer…
Elle ne voulait point montrer que cela lui faisait mal…

Crier ne servirait as rien…L’homme la releva…

Frah couverte de boue…regarda l’homme, ne laissant pas la peur l’envahir…
Mais qu’elle idée de passé par là…là voila dans un beau pétrin…
Restant bien droite devant Malfosse, car apparemment cela était son nom…

Votre Domaine…oui, je vois le genre…Mes écus…je doit avoir que quelques deniers…
Vous ne penser pas, que je vais vous les donner…

Frah le regarda de ses yeux vert emplit de frayeur…
De toute façon, je ne vaux rien….

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

Cet homme là se nourrissait de la peur des autres et dans les yeux de la jeune femme il lut une frayeur mal dissimulée. Il lui fit un affreux sourire de prédateur, la toisant de la tête aux pieds. Dans le lointain on pouvait entendre les cris d'une meute, celle de Malfosse, qui se rapprochait. Malfosse fit le tour de Frah, tenant la corde, marchant lentement, la regardant en détail.

Voilà donc la proie du Comte de Cognac... Il se mit à rire grossièrement.

Mais que lui avez vous donc fais, à ce chacal pour qu'il mette votre tête à prix, lui si habituellement débonnaire ... Vous ne sauriez faire de mal à une mouche !

Il se mit à la fouiller, trouva la hache, la jetta au sol sans faire à la plaie faites à la jeune femme, d'ailleurs la vue du sang lui était si familière qu'il n'en prenait généralement pas garde. Il trouva la maigre bourse, la lui arracha :

Puisque vous me le proposez si agréablement, jeunette, je les prend vos quelques deniers !

Maintenant vous allez venir gentiment dans mon beau château, là, dans la forêt, où nous allons faire connaissance. Je gage que vous y retrouverez d'autres pauvres gens de votre espèce, ceux qui plient devant la volonté des hommes... Allez !! Avancez !!

Une, puis deux, puis une dizaine de torches portées par des hommes sales en guenilles et haletant s'approchèrent finalement. Le temps vira à la pluie, froide et glacée, figeant les êtres comme les plantes dans un frisson désagréable. Une vent tournoyant vint donner aux arbres tordus et dénudés un air menaçant. Les heures de Malfosse étaient arrivées...

Elle ne le quittait pas du regard…Fral le voyait tourner autour d’elle, comme si elle n’était qu’une bête….a vrai dire cela ne l’étonna pas de ce Malfosse…

Je ne suis la proie de personne, sachez le et votre Comte, vous fait faire les basses besognes, car lui-même en as pas le courage !

Ma tête as prix…je ne sais pas ce qu’il vous as promis pour faire cela…Mais je ne vous rapporterait pas grand-chose !

Malfosse ce mit à la fouiller, elle retint un geste de dégoût…
Quand elle fit sa hache tombé au sol…elle ne pue empêcher une larme de couler…
La seule chose qui lui restait depuis tant de temps.

Elle ne compris pas pourquoi, il lui avait laisser son épée…

Mais prenez les, si cela peu vous satisfaire ! Ce n’est que quelques deniers…

La douleur était toujours là…le long de sa cuisse…mais elle en avait reçue d’autres des blessures…Et jamais elle ne se plaindrait cela ferait trop plaisir…

Ha, parce que vous avez un château….

Elle regarda les autres arriver…
S’il j’en vois par l’apparence de vos…hommes…si on peu appelez cela comme cela…
Il as du vous laisser que des miettes le Comte, du moins une bicoque…
Et sachez, que je ne me plis pas devant les hommes !

Frah tirer par la corde qui la maintenait prisonnière avança, suivant ce Malfosse…
Elle se demandait bien ce qui allait lui arriver…
Pourquoi Phenix la haïssait autant…
Frah ne comprenait pas sa raison…Elle comprenait de moins en moins les hommes.
Tout ce bousculait dans sa tête…La douleur se faisait plus intense as chaque pas, mais elle serras les dents…

Messages : 24 Date d'inscription : 28/01/2009

Orphée enfin avait retrouver le maitre de son cœur elle commença a chanter pour lui ses chant n'envoutant pas Malfosse mais cela plaisait tans a la nymphe de laisser sa voix envouter les lieux sous les pas du malfaisant seigneur, sa vie il pouvait en disposer si cela lui plaisait , son sang elle le lui offrirait bien volontiers restant cachée pour l'observer elle ne pue s'empêcher de rire en voyant la jeune femme attacher serais ce elle que le comte avait mise a prix elle qui avait osée le défier? cela plaisait a la nymphe les gens qui tenait tête voyant la cuisse blessée Orphée qui ne faisait du mal qu'aux hommes soufflât sur des feuilles qui se collèrent à la plaies afin de soigner la jeune femmes.

Tout le monde pouvait l'entendre mais point la voir si elle ne le désirai pas et le seul a qui elle souhaitait ce montrer lui ne la désirais pas depuis ce jour maudit ou Malfosse l'avait rejetée Orphée se vengeais de tout les hommes les envoutant et les pliant a ses volontés puis les laissant se noyer dans les marais. La nymphes chantait sans cesses chaque fois qu'elle voyais ou sentait la présence de son maitre elle l'aimais et le désirais elle lui aurai tout donnée en échange d'un simple baiser.

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

La suite ici

Messages : 24 Date d'inscription : 28/01/2009

Orphée regarda son aimé partir il avait tans changer depuis que cette catin était entrée dans sa vie elle l'avait évincée, lui si fière si fort si dur mais si tendre avec elle loin des autre dans leurs couche.

La jeune femme souvent repensait au passé près de son ténébreux seigneur,mais cette femme qui l'avait envoutée depuis ce jour il avait tout perdu cette gourgandine n'était que poison envoutant de ses mouvement de hanche son bien aimé malfosse si bien qu'il l'avait chassée elle sa promise qui même étant loin l'aimait bien plus que sa vie...

Orphée posa son regard sur le sol boueux et remarqua la hache de la captive de son seigneur des ténèbres la prenant elle regarda un arbres et imagina la puterelle a la place de celui ci visant entre les yeux dans son imaginations elle la lança violemment, entendant un cheval se cabrer Orphée regarda l'animal et sa maitresse honteuse que l' hache les ai frôlé de près, celle qui se disait nymphe s'apprêtait a partir mais les yeux de la jeune femme posé sur la hache la fit rester plus longuement.

Pyrotess était partie depuis plusieurs jours de cognac la blonde hospitalière avait trouvé moyen de se perdre tans les terre était grand, les gens du village fut des plus aimable essayant de la guider trouvant enfin la bonne route la jeune avait fini par se perdre a nouveau dans les marais avançant doucement elle vit une hache frôler son destrier celui ci ce cabra, Pyro réussi a garde le contrôle et calma sa monture posant son regard sur l'objet elle reconnue la hache de Frah.

Détournant ensuite la tête l'hospitalière remarqua une jeune femme quasi nue vêtu seulement de voile de dentelles qui auparavant devait être une robe à présent usée de par les semaines voir les mois. Pyrotess sourit a la jeune femme pour lui montrer qu'elle ne craignait rien.

Bonsoir... je suis Pyrotess ...
N’ayez crainte je ne vous veux aucun mal...

Pyrotess posa a nouveau son regard sur la hache avant de la retirer de l'arbre afin de la mettre a sa ceinture.

Je connais la propriétaire de cette arme elle ne s'en sépare jamais, comme moi de mon épée savez comment, elle c'est retrouver ici ?

Pyrotess caressait les flancs de son destrier pour le garder calme l'odeur des marais et les bruits ne le rassurant pas. Se penchant sur lui Pyro lui souffla

Du calme mon tout beau je suis la tu ne crains rien.

Messages : 24 Date d'inscription : 28/01/2009

Orphée regardai la jeune femme d'un air craintif quand elle se présenta a elle , Orphée s'approcha doucement mais le cheval se cabra de nouveau elle fit un saut en arrière fixant la blonde du nom de Pyrotess d'une voix basse entrouvrant légèrement la bouche

je.. suis Orphée je vie en ces marais depuis qu'une femme m'a volé mon promis...

Honteuse de sa tenue et regardant la jeune femme qui calmait sa monture, Orphée eu confiance et commença a s'approcher. son regard a penser a la puterelle voleuse d'homme noircie, et se radoucie aussitôt poser sur Pyrotess

La hache oui elle ne m'appartiens pas elle est a une femme que Mon aim.. mon Malfosse a emprisonné il a du la ramener en son domaine ou plutôt au ruine de ce qui fut autrefois son domaine

Orphée posa doucement la paume de sa main sur les flanc de la monture de Pyrotess continuant a parler librement cela ne lui était pas arrivé depuis si longtemps qu'Orphée n'aurai pu dire quand fut sa dernière conversation réel ou l'ont avait écouté ses dires

Ses hommes on aussi fait prisonnier un jeune homme brun avec une verve des plus plaisante plutôt fin mais ses bras puissant.ce jeune homme disait être attendu au domaine de Cognac.

Pyrotess sourit a la jeune femme la voyant s'approcher elle sentait en elle la tristesse d'un cœur meurtrit les parole d'Orphée, Pyrotess sentait que la demoiselle avait grand rancœur qu'on lui ai dérobé son amour, elle remarqua que le visage de la jeune femme changea Pyrotess compris vite et détacha sa cape la lui posant sur les épaules retirant vie ses mains pour ne pas que la jeune femme fui.

Pyrotess entendant la suite du récit blanchit soudainement, Frah son amie prisonnière... Pyrotess respira doucement posant ses mains sur son ventre quand Orphée se mit a parler d'un homme aussi son cœur accéléra a la description c'était sur pour elle l'homme était Jean… son jean enfin celui qui faisais battre son cœur mais qu'elle s’entêta a repousser, Pyrotess se souvenue d'une nuit magique a ses yeux ou leurs Corps. Et leur âme n'avaient fait qu'un un seule être entouré de passion mais encore une fois Pyro avait fui, elle fuyait l'amour ayant si peur de faire souffrir, décevoir ceux qui lui donnait son amitié.

Damoiselle je vous en prie, aider moi a enlever des griffes de celui qui fut votre aimé avant que cette femme ne le dérobe a votre cœur...

Le jeune homme est celui qui fait battre le miens je vous en conjure aider moi.

Pyrotess regarda la jeune femme dans les yeux lui prenant les mains

Aidez moi a récupérer mon amour et je vous donnerai l'occasion de vous venger de celle qui a détruit votre vie.

Messages : 24 Date d'inscription : 28/01/2009

Orphée remarqua que le visage de Pyrotess a la description de l'homme avait changé devenant blême alors que le doux regard s'assombrissait soudainement, Orphée se mit a sourire sadiquement a l'entente du mot vengeance, enfin elle allait avoir entre ses griffes la possibilité de détruire la gueuse , la puterelle, la catin qui ne savait que se servir de ses cuisses et de sa croupe obtenir ce qu'elle voulait Orphée.

Bien je vais vous guider au domaine de Malfosse
suivez moi

Orphée commença a avancer si rapidement qu'on aurai cru qu'elle ne touchait pas le sol Pyrotess la suivant sur sa monture.

Invité

Arrivée très discrètement près du Marais de Malfosse en étant très attentif à ce que personne ne l'ai suivi, Eudes avait passé un long moment à franchir péniblement les bois de cognac pour arriver à bon port. Eudes se retrouvait sur l'un de ces chemins aux environs du château de famille de Malfosse , aujourd’hui qui est un repère de brigands. De manière à ne pas être retrouvé, ni repéré par qui que ce soit, il ne faisait guère attention a sa tenu vestimentaire et comportemental. Aux environs, plus précisément près du carrefour qui menait vers les dépendance du grand chateau de cognac, Eudes avait donné rendez-vous à son amie pour une mission secrète qui était de grande importance.

Rholala qu'est-ce qu'elle fou...

Eudes était très content de préparer une belle magouille en sa compagnie, mais il était vraiment impatient de commencer une aventure, pour s'occuper il vérifiait à ce qu'il est bien le trousseaux de clés, tout en regardant les plans du grand château de cognac...

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

Ambiance...

Un vent malfaisant venu du Nord apporta une ombre, qui engendra un murmure, qui souleva une terreur. Tapis dans les bas-fond, un homme, que nul n'avait revu depuis des années, croupissait dans la vermine et la haine. Encapuchonné de la tête jusqu'aux pieds, masquant un corps enlaidi par des brûlures infâmes, il attendait son heure. Venimeux parmi les vivants, image incarnée de l'enfer, se pouvait-il que Malfosse fut toujours en vie ?

De là où il était il pouvait tout voir, tout ressentir, tel une bête ignoble et froide il respirait émettant un grognement sinistre.

Un oeil, un seul, scrutait le gamin devant lui...

Et si la vengeance était proche ?

Messages : 1 Date d'inscription : 29/07/2009

Ils vivaient dans le sillage de Malfosse ses gueux. Depuis la victoire de Cognac, les quelques rescapés ne sachant où aller avaient suivis leurs maître en guenilles. Ils vivaient de larcins, et ramenaient leurs prises pour faire vivre le clan. Ils n'étaient jamais très loin de lui, suspendus dans les arbres, ou bien cachés derrière un fourrée, en quête d'une proie, d'une bourse, même d'un bout de pain.

Tout était bon pour les gueux de Malfosse...

Invité

Cerise avait été retenue par son travail à la prévôté, beaucoup de brigandages, et fraudeurs en ce moment, cela devait être la mode printanière.. Elle se dépêcha de rejoindre son ami Eudes, avec qui elle avait rendez vous aux Cascades, tous les deux voulaient faire une surprise farce au Comte de Cognac, le tendre ami de Cerisette..

Prête à partir elle reçut un pigeon de Eudes qui stipulait "Rendez vous au Marais", elle pensa à haute voix...
- Tss !! quel drôle d'endroit.. Mais bon il doit déjà m'attendre vu l'heure..

Elle chevaucha à vive allure, arrivant près des marais elle abandonna son cheval et commença à se diriger prudemment, mais Griotte était sur ses gardes dans cet endroit peu accueillant, sombres... Si morose !! Berkkk !! Elle se demanda qui pouvait bien résider dans tel endroit, car elle avait entendu quelques échos.. Cela ne lui inspira guère sympathie...

Elle enjamba quelques herbes, pierres et la elle put voir une ombre, un homme si lugubre, qui fixait dans une direction.. Cerise regarda ce qu'il pouvait guetter ainsi, et là elle aperçut la frimousse de Eudes..
- Tsss !! Les ennuis commencent , pensa-t-elle? on a même pas encore entrepris notre blaguounette que voilà..

Elle posa sa main sur son épée, et fit le tour discrètement autour de cette homme, afin de rejoindre Eudes sans se faire repérer.. Elle ne pouvait l'abandonner ici.. Et ce n'était pas du tout le genre de Griottine..

Elle arriva à sa hauteur et lui murmura..
Hey toi !! On est repéré.. Tu ne vois pas l'autre bougre devant toi près de l'arbre.. Va falloir courir !! mon cheval est resté près de l'entrée des marais..
On aurait du aller aux Cascades, ici c'est pourri..

Mais il a l'air vieux il n'a plus notre vivacité.. T'es prêt !!

Cerise attendit sa réponse pour lancer le départ..

Invité

Regardant de gauche à droite comme si il allait traversé une route dangereuse, pour lui ces lieux étaient sûr et rien ne pouvais lui mettait en doute, alors que même un craquement de bois ne lui faisait douter, concernant l'insécurité du lieu dans son esprit. C'est vrais que ici, c'était un drôle d'endroit, un endroit qui devait sans doute être le lieu qui réunissait plusieurs dizaines de malfrats.

Attendant encore et encore, toujours comme toujours sans jamais avoir de résultats... une ombre apparaissait sous un rayon de soleil qui avait réussit a ce faufiler entre les arbres et les branches, c'était son amie qui faisait apparition mais qui était un petit peu chelou, qui comprendra les raison un tout petit peu plus tard...

Où sa on est repéré ?...

Dit-il avec une voix forte, oubliant soudain, ce que venait de dire Cerisette. Ce tournant brusquement, Eudes tomba sur le sol puis se releva d'une très grande vitesse, c'était sans doute la peur qui lui faisait cette effet.

Sauve qui Peuuutttt !!!!

Disait-il en criant, il ne savait même plus maitriser son esprit qui lui ordonnait de regagner les chevaux aux entrées du Marais. Tout en se retournant et ayant une pulsion qui le fait sourire il criait enfin de vives joies.

Il nous suivent en Claudiquant... ce sont les partisans de vieillards, leurs mains sont calleuses et couturée de rides noirâtre. Leurs peaux sont sèches et dure comme du vieux cuir...

Regardant son amie en lui faisant un joli clin d'oeil

Le bonheur est loin de ce marais, suis moi vite, suis moi vite
Les clochards sont dans ce marais, suis moi vite, on va les semer...
Saute au-dessus de la haie, suis moi vite, suis moi vite
Rampe au-dessous du filet, suis moi vite, on va les semer...

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

L'homme sournois tapis dans l'ombre eut un sourire carnassier. Ils firent ce qu'il voulait qu'ils fassent et l'on put alors entendre dans les arbres un sifflement sinistre, ordre donné à ses hommes rampant dans la fange. Et les deux jouvenceaux eurent bien tort de mésestimer Malfosse.

Combien même ils pouvaient se vautrer dans leur jeunesse, ils ne purent que constater qu'en un instant, un seul, ils se retrouvèrent prisonnier dans un large filet et soulevés tous les deux dans les airs. Les gueux avaient de la force, surtout lorsqu'il s'agissait de prendre des proies et le piège avait parfaitement fonctionné.

Abasourdis sans aucun doute dans les airs, dans ce filet étroit sentant le moisi, ils virent alors venir à eux la horde malfaisante, avec des sourires sans dents, mais portant haut leurs gourdins bardés d'épines.

C'est alors que vint Malfosse, sa longue cape le découvrant complétement. Il ne boitait pas, il était gigantesque et imposant de haine. Il se trouva au dessous du filet et il dressa la tête en leur direction. Alors sa capuche tomba et son visage apparut, énorme cicatrice sur un oeil unique qui semblait rouge et sorti de l'enfer. Sa laideur, alliée à son comportement, aurait fais fuir n'importe qui. Mais les deux jeune gens ne le pouvaient désormais plus, ils étaient à LUI !

Regard sur le jeune femme, filet de bave au coin de la bouche, il sourit, cruellement.

Que voilà une belle prise, deux jeunes agneaux perdus sur mon domaine ! Menez les à Malfosse sur le champs ! Nous allons nous repaître de leurs vivacité !

C'est ainsi que l'Ecuyer de Cognac, accompagné d'une jeune femme insouciante, allaient voir leurs destins basculer tandis que déjà la nuit tombante voyait s'allumer des torches tenues par des mains retords d'hommes assoiffés de sang, et de vengeance...

Alerté par un pigeon Romuald arriva sur les lieux et vit la scéne il dit a ses garde de rapliquer et déscendit de cheval épée a la main bouclier dans l autre

HOLA QU ES CE QUI SE PASSE LA!

Il vit ses deux amis dans un piége si il s écouter il allait foncé mais voyant des hommes il se dit qu il préferais attendre ses hommes qui été entrains d arriver

LACHEZ LES DE SUITE OU CA VA MAL ALLE

Messages : 20 Date d'inscription : 28/01/2009

On emmenait déjà les prisonniers qu'un énergumène venu d'on ne sait où débarqua avec une bande pitoyable d'homme plus peureux les uns que les autres et qui se tenaient en retrait.

Le Seigneur de Malfosse fit un sourire des plus carnassiers, cela n'avait rien d'un sourire à vrai dire, mais plutôt comme un félin qui montrait ses dents à ses futurs proies. Sacrilège que de penser que cet homme là plierait devant un poignée d'individus..

Descendant des arbres, sortant des bosquets, sautant sur le sol assombri par la nuit ses hommes se précipitèrent voluptueusement sur le groupe lançant des filets.

Malfosse se saisit de la demoiselle avec force tandis que le jeune homme qui l'accompagnait était ficelé de la tête jusqu'aux pieds. Il prit un coutelas aiguisé attaché sur sa cuisse et le pointa sur la gorge de la fille en riant.

Allez viens te battre Maraud VIENS CONTEMPLER cette pauvresse qui va se vider de son sang si tu ne te rends pas de suite !

Et il fut pris d'un rire des plus cruelle, plaquant contre lui le corps de sa victime qui pouvait sentir les effluves de sa transpiration malfaisante.

*il le regarda sans broncher* un Plantanièvre ne se rendant jamais il dit

Viens m affronter toi même si tu l ose je me rendrais pas je suis pas un Plantanièvre pour rien viens seul en 1/1 et on verra

Invité

Cerise qui avait rejoint son ami Eudes pour le prévenir qu'il était entourré par des gueux et une ombre qui n'inspirait guère Griotte..
Où sa on est repéré ?...
- Bin ouvre tes n'oeils là devant toi et autour.. On est mal très très mal...

Cerise se demandait comment ils allaient pouvoir sortir d'ici, mais les idées ne lui venaient pas, ce n'était pas trop en son habitude de se faire prendre comme cela, elle qui était lieutenant de Police, elle mettait plus en place les attaques pour prendre les brigands.. Mais là, elle pensait surtout à faire sa blagounette à son amie, la Comtesse Frah, et elle voulait arriver par le marais de Malfosse, mais elle ne se doutait pas que ce dernier était habité par d'affreuses vermines.. Bref !! Le mal était fait, et là ca sentait le roussi.. Griotte était dans ses pensées quand Eudes se mit à hurler..
Sauve qui Peuuutttt !!!!

Le temps de réaction de Cerisette fut un peu long, qu'elle vit l'ombre noire et les gueux rampant s'approcher de plus en plus autour d'elle et Eudes, il était trop tard..... ils se retrouvèrent prisonnier dans un filet, soulevé par les marauds dans les airs. Ce filet était étroit et surtout une odeur de moisi qui fit limite tourner de l'œil à Griotte, tellement cette odeur était désagréable.. En regardant autour d'elle, elle vit toute la Horde les fixer avec des sourires sans dents, elle se mit à rire en voyant leurs frimousses désastreuses qui ne lui faisait vraiment pas peur....

Et là l'homme sombre avança pour se placer sous le filet, en nous fixant sa capuche tomba et nous pouvions voir son visage, rempli de Haine, ce qui n'étonna guère Cerisette.. Elle ne lâcha pas son regard du sien s'il croyait l'effrayer il se trompa elle avait connu pire que lui.. C'est la qu'elle vit son sourire cruel avec son filet de bave au coin de la bouche..
- Mouarff !! J'vais te la faire ravaler moi sale bougre !! Libère moi de suite Maraud !! ou ca ira mal pour toi..

Ce brigand sans nom ordonna à sa horde de nous conduire à son repère.. C'est là qu'apparu un sieur avec une poignée d'hommes, d'où j'ne sais ou !! Il demanda sur le champs de nous relâcher, ce qui ne plut pas du tout au Brigand.. Ce dernier ne prit ses paroles guère pour des menaces mais il me prit violemment par le bras en me positionnant devant lui et pointa aussitôt sur ma gorge un couteau.. Et il se mit à rire.. Sur le coup Griotte ne faisait plus sa maline, mais réfléchissait à ce qu'elle pouvait faire, il était hors de question de se laisser prendre sans riposter pour s'échapper.. Elle entendit les quelques mot de son kidnappeur...
Allez viens te battre Maraud VIENS CONTEMPLER cette pauvresse qui va se vider de son sang si tu ne te rends pas de suite !

Cerise ne voulait pas qu'on la vide de son sang sans broncher, elle prit une grande inspiration en fermant les yeux avant de passer à l'acte.. Ni une ni deux Griotte lui écrasa le pied droit ce qui lui fit légèrement décoller le couteau de ma gorge... La prévôt Adjointe lui mordit à sang le bras en lui donnant un grand coup de coude dans l'estomac ce qui fit tomber son couteau au sol... Puis elle se mit de biais en lui donnant un coup violant dans l'arrière des genoux pour le faire tomber, ce qu'il fit mais très peu, il était coriace l'bougre.. Il ne devait pas s'attendre à cela, mais Griotte n'était pas une jeune demoiselle sans défense, elle savait se battre, elle en avait mater plus d'un durant sa carrière.. Elle se mit à courir vers le sieur qui était là avec ses hommes..
- Merci m'sieur, il faut libérer le jeune Eudes qui est saucissonné là bas, je ne peux pas le laisser ainsi.. Aidez moi !! Je ne sais pas s'il faut qu'un de nous aille prévenir le Comte de Cognac de ce qui se passe ici..

Griotte sortit son épée en direction de cet homme sombre..
- Hey toi !! Oui toi qui voulait me saigner, et je ne sais quoi en regardant avec ta bave qui dégoulinait, vient te battre et sans tes gueux, soit un homme.. Pauvre fillette !!

Griottine le zieuta du pied à la tête d'un regard noir, elle allait lui faire payer ce qu'il venait de lui faire subir...

Romuald ordonna a ses hommes de protégé la damoiselle qui est vennus vers lui et dis a la damoiselle:

Il faut agir nous deux et libéré Eudes si jamais cela tourne mal je sais qui prévennir vous vous en faites pas

il prit son arc

on va voir si on peut le tiré de la

Tout en cueillant des champignons hallucinogènes pour ses maléfices privés Adélaïde avait suivie la scène non loin de là. Elle le connaissait fort bien le Malfosse, intimement bien, mais c'était un temps que les moins de vingt ans ne peuvent connaître. Oui elle avait fricoté avec ce brigand en son jeune temps, à une époque où le père du Comte de Cognac en avait fais sa favorite, temps lointain, jours heureux. Pour l'heure, emmitouflée dans une cape de laine noire avec une capuche la vielle femme tenant un bâton s'interposa entre les protagonistes d'un bon, l'œil mauvais et le menton en avant :

Lâches les vieux navet !! Où je te rosse avec mon bâton empoisonné !!

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